Le jeu d’échecs est très connu pour être le jeu cérébral par excellence. Dans les temps anciens, il a été surtout pratiqué par les élites et la noblesse. Stéréotypé comme étant le jeu qui incarne l’art militaire, c’est peut-être le jeu qui fait le plus appel à l’intellect. Mais il est permis de se demander si le jeu par son essence est un jeu pour devenir intelligent ou pour les intelligents.
Les compétences développées par le jeu d’échecs
Il est incontestable que le jeu d’échecs permet de développer certaines compétences intellectuelles. La pratique régulière du jeu confère une bonne capacité d’analyse et de planification aux joueurs. La mémorisation n’en est pas en reste, car en jouant on s’efforce de se rappeler des leçons de stratégies apprises. Pour ces leçons, on peut se référer sur https://world-of-chess.fr/.
De plus, il ne faut pas oublier que le jeu d’échecs entre dans la catégorie des jeux de stratégie. Ainsi, il aide à parfaire la réflexion dans le but d’optimiser les choix dans le cadre du jeu. On y apprend que les décisions doivent être cohérentes entre elles et par rapport à la stratégie établie. Le jeu d’échecs peut favoriser un cerveau actif et affûté.
Les compétences sollicitées par le jeu d’échec
D’un autre point de vue, on peut dire que ce sont les exigences mêmes du jeu d’échecs qui font appel à des compétences particulières, surtout si on veut y gagner. Des prédispositions intellectuelles sont nécessaires pour bien jouer aux échecs. En effet, l’échiquier est un véritable cadre de combat intellectuel. Chaque joueur y tentera de prouver ses talents cérébraux pour défier l’adversaire. Et le point faible de l’autre peut être une occasion de gagner.
En définitive, le jeu d’échecs est à la fois référencé comme étant le jeu pour les intelligents et pour devenir intelligent.
